A toi Choco, à toutes les fois où tu as pris le métro, ou tu t’es patiemment glissé sous un siège, ou tu as gentiment retiré ta patte quand le pied d’un usager manquait de l’écraser, où tu es resté debout alors que tu mourrais d’envie de t’allonger… à tous les escalators que tu as toujours refusé d’utiliser et à tous les escaliers que nous avons montés et descendus d’innombrables fois.