Loedi et les coco’s birds

Connaissez vous les coco’s birds ? Non ? N’en avez-vous jamais aperçu dans le ciel de Paris ?

Quel dommage… ils sont si incroyables !

Laissez-moi vous expliquer comment s’y prend Loedi. Et si vous suivez ces conseils…. peut-être les verrez-vous un jour !

Premièrement, vous devez savoir que les coco’s birds détestent le froid et le mauvais temps. A Paris… ça limite beaucoup les opportunités me direz-vous, mais ne désespérez-pas: le meilleur moment dans l’année se situe en juillet, août pendant ces deux à trois semaines de canicule, quand nous rêvons d’un cocktail sur une plage bordée de cocotiers… et que nous n’avons rien d’autre que nos chers immeubles haussmanniens.

Deuxièmement, pour optimiser vos chances, vous devez savoir que les coco’s birds sont de grands gourmands: ils adorent les fruits de toutes les couleurs, bien mûrs de préférence. Ils peuvent en manger des quantités en un rien de temps ! Si vous voulez avoir la chance de les voir de près, faites comme Loedi et appâtez les avec une énorme corbeille de fruits !

Troisième et dernier point important, les coco’s birds n’ont qu’une seule patte et deux très grandes ailes. Ils ne sont donc pas très agiles et ne peuvent pas se poser n’importe où sans risque d’endommager leurs ailes si délicates. Pour leur donner envie de se poser à vos côtés, ajoutez à proximité de la corbeille de fruits, des perches assez longues et stables qui leur donneront un perchoir idéal. Comme Loedi, vous pouvez aussi opter pour de véritables troncs de cocotiers mais c’est un peu plus difficile à mettre en place.

Maintenant que vous savez tout… pensez à grimper sur les toits de Paris l’été prochain et partir à la découverte des coco’s birds !

Au pays des cèdres

Beaucoup vous diront que c’est un petit pays mais il n’en est rien.

Si seulement ils avaient pris la mesure au rythme de leurs pas… ils ne vous auraient plus dit la même chose.

Bienvenue au Liban !

Venez, je vous emmène marcher avec Loedi et P’tit Jo au cœur des montagnes !

Nous suivrons les marques pourpres et blanches du « Lebanese Mountain Trail » (L.M.T.), le premier chemin de grande randonnée au Liban.

Pourquoi la couleur pourpre ? Car le pourpre de Tyr (ville côtière au sud du Liban) est une teinture rouge violacée fabriquée à partir de mollusques, dont l’invention est attribuée aux Phéniciens.

La tente dans le sac à dos et le carton à dessin sous le bras, nous marcherons pendant huit jours, de la réserve naturelle de Horsh Ehden jusqu’au village de Baskinta. Du nord vers le sud, au cœur des montagnes chrétiennes.

Vous êtes prêts ? C’est parti…

Elles sont uniques à nos yeux et nous les aimons tant…

Les joies du printemps

Avec l’arrivée des beaux jours, voici le retour des semis !

Cette année, ce sont les haricots qui sont à l’honneur, au côté des tomates, poivrons et capucines !

Ils prendront bientôt place à côté des plants de fraisiers, origan et citronnelle, aux pieds du framboisier, mûrier et myrthillier !

Et vous, qu’avez vous planté cette année ?

Le porteur de bagages ou « Sahayak » en hindi

Voici la première animation d’une petite série sur les personnages incontournables des gares indiennes.

Le porteur de bagages est facilement reconnaissable avec sa chemise rouge et son écharpe de coton négligemment posée sur l’épaule en attendant d’être enroulée sur la tête tel un amortisseur entre le crâne et les valises.

Pas de chariot… le Sahayak porte tout avec ses bras et surtout avec sa tête ! Toujours à l’affût d’un client, il ne rechigne jamais à la tâche même au cœur de la saison chaude.

Quel courage !

La rencontre avec le poulpe

Loedi découvre une ville engloutie dont les toitures en zinc ne lui sont pas inconnues.

Soudain… une tentacule géante s’enroule autour de son pied et la tire vers l’intérieur !

Loedi tente de résister en s’agrippant à une cheminée mais en vain, le métal rouillé cède et la voici aspirée dans l’antre du poulpe.

Une ville dominant l’océan…

Cette ville me semble familière et pourtant… où sommes-nous ?

Prenons le temps de nous y attarder un peu, voulez-vous ?

Ce ponton qui s’élance vers l’océan semble être le lieu de rendez-vous des amoureux. Serait-ce un marin avec sa dulcinée ?

Et ce bateau sur les flots… Vers où s’élance t-il ?

Je boirais bien un café sur ce toit terrasse, la vue doit y être agréable. M’accompagneriez-vous ?

Ensuite nous pourrions prendre quelques fruits et légumes chez le primeur dans la rue adjacente…

Puis se promener le long des falaises  avant de grimper tout en haut de cette grande tour qui m’en rappelle une autre… Ne serait-ce pas Saint-Jacques en son sommet ? Bourdon à la main avec sa cape de pèlerin, le regard rivé vers l’océan…

Il y aurait tant d’autres choses encore à raconter sur cette ville… Voulez-vous bien vous y attarder encore un peu ?