Tu tournais sur toi même une fois de trop avant de trouver la bonne position pour te coucher.
Au bout de quelques minutes, tu te détendais enfin en t’étirant de tout ton long avant d’expirer dans un profond soupir.
Je m’endormais ensuite bercée par ta lourde respiration.
Cette nuit, je m’endors en laissant mes pensées s’échapper vers toi:
« Viens Choco, rejoins-moi et partons en ballade ensemble, le temps d’un rêve. »